Le Ari Hakadoch nous explique que la faute comprend une étincelle de Tov-Bon, de façon que lors de l'élimination de la faute, Hachem sauve cette étincelle de Tov. Car le mot faute ici, H'éte, comprend une notion de manque. La faute n'est pas parfaite, entière. Il lui manque cette partie de Tov, qui en fait lui donne la force d'exister. Les forces du Mal (Les Kélipote) puisent des forces de Sainteté (Sitra Dikdoucha) et ne sont en aucun cas indépendantes. C'est une des raisons profondes des Mayim Hah'aronim avant de réciter le Birkate Hamazone. au lieu de se mettre sous la coupe totale des Kélipote, sachant que la nourriture est un des concepts des plus physiques, on donne un peu aux Kélipote, en se lavant les mains. Et la majorité reste à la Kédoucha.
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