Lois du Maassere (dîme)
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Présentation.
Il faut avant tout bien comprendre que ce genre de lois est jugées aussi en fonction de la position socio-financière, mais aussi en fonction, trop malheureusement, de certains courants de pensée et de l'intégration dans telles ou telles couches sociales. On verre quelques fois certaines différences, mais les concepts généraux sont identiques chez la plupart des Décisionnaires Halah'iques. Et dans notre cas, ont été relevés seuls des Décisionnaires contemporains.
Le rabbin Dov Lior a écrit à propos de l'obligation de donner la dîme, que pas toutes les communautés réalisent le maassére. Par exemple, en Europe de l'Ouest, ils prélevaient le maassére et en Europe de l'Est, ce n'était pas le cas. La même chose est vraie aujourd'hui, il y a ceux qui ont l'habitude de prélever le maassére et ceux qui n'en ont pas l'habitude.
Le rabbin Yaakov Ariel a écrit que chaque personne est obligée de faire la Tsédaka, et c'est une bonne coutume de prélever le maassére pour continuer à réaliser cette mitsva - et c'est une coutume qui est devenue halakhique. Quiconque a des revenus doit donner à la Tsédaka, même le pauvre doit donner la Tsédaka selon sa capacité et celui qui verse le maassére n'a pas besoin de donner de Tsédaka supplémentaire.
Le rabbin Yitzchak Ben Yosef a écrit que donner le maassére est une bonne coutume, et ceux qui donnent le maassére doivent s'assurer qu'il donne sans vœu, et quiconque a donné et n'a pas dit sans vœu (bli néder) - donner son maassére devient une obligation thoraïque.
Ceux qui peinent à 'boucler' les fins de mois - doivent-elles également donner la dîme ?
Le rabbin David Chai HaCohen a répondu à cette question qu'une famille qui est dans le besoin et en donnant du maassére, peut nuire à ses moyens de subsistance et à ses dépenses de base - qu'elle n'a pas à prélever le maassére et qu'il suffit qu'elle donne des montants symboliques de Tsédaka. Le rabbin Dov Lior a également répondu de la même manière que toute personne qui a des difficultés à terminer le mois et ne peut pas économiser n'a pas à donner le maassére, et le rabbin Yaakov Ariel aussi.
Le rabbin Eliezer Melamed a reçu une question d'une personne qui a acheté un appartement et donc il est pressé par les dépenses, doit-il donner la dîme de l'argent dont il dispose ? Le rabbin lui répondit qu'il devait donner dix shekels. Seul un pauvre est exempté de la dîme, mais celui qui achète une propriété chère - de même qu'il rend compte de la façon dont, avec les paiements, il achètera de la nourriture et des vêtements, etc., il doit également tenir compte du don de la dîme. Est-il concevable qu'un millionnaire s'achète une villa d'un million de dollars, une voiture et un avion de fonction - il y dépensera tout son argent et sera donc exempté de la dîme ?! Certainement pas. Aussi, une personne qui pourrait s'acheter un appartement à moindre prix dans un endroit plus éloigné du centre ne peut pas se considérer comme pauvre et s'exonérer de la dîme.
Le rabbin a conclu qu'il n'y a pas de décret dur dans ses paroles - mais une bénédiction, que la personne qui paie la dîme est bénie et enrichie.
Rav Chmouel Eliyahou
Dans le Choulchan Arouh' (Yoreh De'a Halachot Tzedaka 249), la halakha est présentée sur les dîmes (un maassére/au pluriel: maassrote). "Si sa main tend la main - il donnera comme les nécessiteux des pauvres. Et si sa main n'atteint pas autant - il donnera jusqu'à cinq de ses actifs", soit vingt pour cent des bénéfices. Et c'est une mitsva des élus. "Et un sur dix - métrage moyen; moins que cela - un mauvais œil." Par conséquent, la dîme est une mesure médiocre.
Les dîmes donnent de tous les revenus après avoir dépensé les dépenses d'entreprise
Un travailleur indépendant qui dépense pour son entreprise prélève le maassére que sur le bénéfice net, après avoir réglé toutes les dépenses de son entreprise. Même un employé qui paie les déplacements vers le lieu de travail - peut réduire les dépenses du déplacement si l'employeur ne les paie pas. Parce que sans avoir besoin de se rendre au travail, il n'y voyagerait pas pas.
L'achat de nourriture pendant le travail n'est pas considéré comme une dépense de main-d'œuvre, car de toute façon il doit se nourrir.
Bourses de subsistance – sont exemptes du maassére
Les parents qui donnent de l'argent aux enfants pour l'école, etc. ont déjà été payés le maassére et les enfants n'ont pas à payer une deuxième fois. Il en est de même des paiements reçus par les militaires de l'armée, ou les filles du service national, c'est de l'argent qui est généralement destiné aux déplacements et à la nourriture, etc. et non au salaire. Et est comme une bourse de subsistance et ne nécessitent pas de prélever le maassére.
En revanche, l'argent de poche et une allocation de maternité doivent être dîmés (maassére) car ils sont à la libre utilisation des bénéficiaires et non à la subsistance. Et les enfants doivent être habitués à donner le maassére aux pauvres. Les parents donneront aux enfants l'argent de poche en enseignant aux enfants à faire de la Tsédaka ou du H'essed avec cet argent (avec le maassére de l'argent de poche).
Héritage – obligation du maassére
Il a écrit dans pithé Techouva au nom du Chla que l'héritage hérité de son père est astreint au maassére même si son père a fait attention toute sa vie verser le maassére. L'héritier dot verser de nouveau le maassére, mais seulement sur la somme pécuniaire générale de l'héritage, et non sur la propriété, qui est considérée comme un cadeau et donc exempt de maassére
Achat d'une montée de la Torah à la synagogue
Il est permis de donner de l'argent du maassére à la synagogue et il y a des doutes en ce qui concerne une mitsva qu'il est obligé de réaliser, comme acheter la montée à la Torah ou acheter un siège dans une synagogue. Cependant, apparemment c'est permis. Mais le mieux est de donner aux pauvres. Ou participer à un mariage d'un couple indigent.
Aide financière pour les enfants mariés
Il n'est certainement pas obligatoire pour les parents de subvenir aux besoins de leurs enfants et ils peuvent calculer l'aide pour les garçons ou les filles mariés et non mariés comme maassére. Cependant on ne leur donnera pas en révélant que cela provient du maassére, car cela les offenserait. Car la règle dans la mitsva de Tsédaka est que tous ceux qui donnent la Tsédaka en provoquant la honte de celui qui reçoit, sa charité est d'un degré inférieur (voir Shu'a Yo'd 249, 6:13).
Et tout cela uniquement si les enfants mariés ont besoin d'une aide financière. Mais s'ils sont stables et veulent juste leur apporter un cadeau comme n'importe quel grand-parent - le cadeau ne peut pas compter comme maassére.
Ne leur dites simplement pas qu'il s'agit de "charité" ou de "dîme" car ces mots sont insultants. On veillera également à donner plus que le maassére. Qu'il ne montre envers le Ciel, qu'il ne leur donne que la dîme et la charité, h'ass véh'alila, sans calculer combien il mangeait et combien cela a coûté à ses parents.
Celui qui n'a pas - que fait-il ?
Celui qui est acculé financièrement et n'a pas de quoi payer - fera une boîte de Tsédaka
Si une personne voit que sa nourriture est très limitée, elle fera de la Tsédaka et la quantité qu'elle met de côté est très importante. Si la situation financière de la personne est très difficile, le regretté Rav Mordéh'ay eliyahou za'l disait toujours que cette personne peut se fabriquer une boîte à maassére, elle y mettra l'argent du maassére et empruntera pour acheter les choses importantes. Avec le temps elle remboursera ce qu'elle a emprunté à son maassére.
Cependant, il n'est pas approprié de prendre tout l'argent sous forme de prêt. Seulement une partie. Parce que si une personne s'habitue à une situation où elle contracte un prêt pour tout cet argent caritatif - elle n'arrivera jamais à une situation où elle sent qu'elle en a assez - parce que quiconque s'habitue à utiliser l'argent - ne peut jamais en dire 'assez'. (Référez-vous au livre de la responsa du Beit Din de Shlomo dans la section Yo'd au début).
Lois de la Dîme/maassére - Pniné Halah'a
Question : Les besoins des pauvres sont multiples, comment une personne déterminera-t-elle à qui donner la charité ?
Réponse : Il y a trois principes dans l'ordre de priorité, et ce sont les mêmes principes que nous avons appris dans la mitsva du prêt (E, Halachot 11 et 13).
Ces Trois principes se trouvent dans le verset (Devarim 15/7) :
Car tu il y aura en toi un pauvre, un de tes frères, dans l'une de tes portes, dans ton pays, que l'Éternel, ton Dieu, t'a donné; Tu n'endurciras pas ton cœur, et tu n'abandonneras pas la main de ton frère le pauvre.
Le premier principe est "le pauvre (indigent)", le plus démunis, celui qui a le plus besoin d'aide - il faut privilégier, donc il faut privilégier le besoin de nourriture sur le besoin de se vêtir, et le besoin de se porter sur le besoin de meubler.
Le deuxième principe : "De l'un de tes frères", celui qui est considéré comme le plus ton frère - doit précéder. Donc les parents précèdent les grands fils, les fils précèdent les frères, les frères précèdent les oncles et les oncles précèdent les cousins.
Le troisième principe : « Dans une de tes portes », les pauvres de ta ville précèdent les pauvres d'une autre ville. Lorsqu'il y a conflit entre deux principes, le premier principe précède le second, et le second le troisième.
Nous avons également appris du verset que les pauvres de la Terre d'Israël précèdent les pauvres de l'étranger, comme est dit :
Dans ton pays que l'Éternel, ton Dieu, t'a donné. (Choul. Ar 251.3)
Il convient d'ajouter qu'un bon ami est également considéré comme un proche. Et la proximité idéologique est considérée comme une proximité, et donc une personne qui veut contribuer à la yeshiva, car de nombreux étudiants de yeshiva sont considérés comme pauvres.
Il est important de noter qu'il existe des situations dans lesquelles les directives de la halakhah sont claires et décisives, et il ne faut alors pas s'en écarter. Par exemple, lorsque le frère et le cousin ont besoin tous deux de Tsédaka, et que les deux sont dans une situation financière similaire, il est clair que le frère doit être mis en avant. Et quand le frère a besoin d'aide, alors que le cousin est sur le point de mourir de faim, il est clair que le cousin vient en premier. Mais lorsque le cousin a besoin de plus d'aide que le frère, mais que la différence entre eux n'est pas grande, en cela la direction de la halakhah n'est pas décisive, et dans un tel cas, chacun doit décider pour lui-même qui préférer. Et en règle générale il faut savoir qu'il est souvent difficile de déterminer qui a le plus besoi, car les personnes et leurs besoins sont très différents les uns des autres. Dans tous ces cas, la personne doit décider selon sa raison et l'inclinaison de son cœur, et parfois pour prendre la bonne décision, il faut consulter un homme sage.
Question : Une personne est-elle obligée de prélever le maassére sur l'argent qu'elle gagne ?
Réponse : La halacha est que la mitsva complète est de donner un cinquième des bénéfices à la Tsédaka. La mesure modérée est de donner un dixième des bénéfices. Et celui qui donne moins, accomplit la mitsva de charité en tant qu'avare.
Et les Décisionnaires Rabbiniques sont divisés sur la question de savoir quelle est la source de la mitsva de donner la dîme. De l'avis d'une minorité de Décisionnaires, l'obligation vient de la Torah (Tossfote Ta'anit 9 : 1). Et certains croient que l'obligation tient des Sages (Ta'z Yo'd 331, 32). Et certains pensent que l'obligation est due à la coutume (Bah').
Mais il convient de souligner que bien que certains disent que la source des dîmes est une coutume, cela ne signifie pas que le donateur de la dîme observe une mitsva légère basée sur la coutume. Car il est clair que le commandement même de la charité vient de la Torah, qui dit (Deutéronome 15 : 7-8) : Car tu lui ouvriras ta main; C'est-à-dire que lorsqu'il est possible de satisfaire les besoins de chaque personne pauvre et nécessiteuse, "il y a assez de ce qui lui manque". Mais généralement les besoins des pauvres sont multiples, et il n'est pas possible de satisfaire les besoins de tout le monde, et donc la halakhah a déterminé qu'une mesure modérée consiste à donner la dîme. On constate ainsi que la mitsva de donner la dîme est la définition de la manière d'observer la mitsva de la Torah comme mesure moyenne.
C'est-à-dire que, bien que certains disent que la source de la dîme vient de la coutume, la coutume vient interpréter les commandements de la Torah, et le donneur de moins que la dîme ne garde pas les commandements de la Torah même comme une mesure moyenne mais comme une mesure du mauvais œil(mesquin).
Dans tous les cas, la question de la source de l'obligation de donner la dîme a une signification halakhique, et il s'agit d'une personne dont la situation financière est difficile.
Si nous décidons que le don du maassére reste d'ordre Toraïque - même si sa situation est tendue, tant qu'il n'est pas acculé, il doit donner la dîme aux plus pauvres que lui ou pour entretenir l'étude de la Torah.
Mais si nous jugeons de l'avis de la plupart des Décisionnaires que le don de la dîme a été défini par les Sages - alors ceux qui sont dans une situation difficile sont dispensés de donner la dîme et se contenteront de donner un petit cadeau à ceux qui sont plus pauvres, mais ceux qui sont un peu tendus financièrement, devront payer la dîme.
Et si l'on décrète que donner la dîme est une coutume, même ceux dont la situation est un peu étroite seront exemptés de la dîme, et la coutume ne s'applique qu'à une personne ordinaire qui gagne un salaire moyen.
Cependant, la plupart des Décisionnaires ont écrit qu'il est possible d'éprouver Hachem avec des dîmes. Et ainsi il a écrit dans le livre Ahavat-Chesed (II Chron. 18), et a prouvé que le verset de Malachie parle de dizaines de paroles de sages, car dans les premiers jours du Second Temple, lorsque le prophète Malachie a prophétisé, la plupart des Juifs ne vivait pas dans le pays. Et A.P. a prophétisé que Dieu pourrait être éprouvé en cela. Après tout, même avec des dîmes qui ne sont pas de la Torah, il est possible d'essayer Dieu.
Bien qu'il semble que l'intention d'un miracle caché était que Dieu enverrait une bénédiction dans son œuvre, cela ne signifie pas que celui qui agit avec négligence et imprudence sera riche malgré toutes ses convoitises et ses erreurs.
Et il faut demander, en quoi une personne mérite de faire une mitsva pour devenir riche, et pourquoi la Torah nous guide-t-elle - "maassére pour que vous deveniez riche"?
En effet, il est bon que ceux qui font le maassére deviennent riches, et alors ils donneront plus de dîmes et seront des partenaires pour réparer le monde. De plus, il y a une sanctification de Dieu en ce que les donneurs de charité seront riches.
Quelles sommes sont-elles dues au maassére ?
Question : Doit-on prélever seulement de bénéfices (dont le salaire)ou le prélèvement est-il obligatoire sur toutes les sommes que l'on reçoit même en cadeau?
Réponse : La mitsva de donner la dîme s'applique à tout argent qu'une personne reçoit - qu'il s'agisse de l'argent dont il a hérité, ou de l'argent qu'il a gagné en salaire ou en commerce, ou de l'argent qu'il a reçu en cadeau de parents ou d'amis ou de subventions accordées par divers organismes, ou rémunération à la fin de son travail.
Question : Faut-il prélever le maassére sur des cadeaux reçus lors du mariage ?
Réponse : Certains pensent que même ceux qui ont reçu un cadeau d'une valeur monétaire, comme un réfrigérateur, devraient donner dix de sa valeur à une association caritative (Rav Auerbach). Mais l'avis général, que seul de l'argent doit être prélever le maassére. Ainsi, une mariée et un marié qui ont reçu divers cadeaux et de l'argent ne devraient prélever le maassére que sur l'argent.
Question : Les parents qui ont donné de l'argent à leur fille mariée pour s'acheter une robe, doit-elle prélever le maassére ?
RÉPONSE : Non, car le cadeau n'est pas de l'argent mais une robe. Et s'il reste un excédent et que l'intention de ses parents est que la fille utilise cet excèdent à sa guise, elle prélèvera le maassére sur l'excédent. De même que les parents qui aident leurs enfants à acheter un appartement, les enfants ne doivent pas prélever le maassére sur l'argent qu'ils ont reçu, car leur don fait partie d'un appartement et n'est pas de l'argent (seulement).
Question : Les enfants qui reçoivent de l'argent de poche de leurs parents, doivent-ils prélever le maassére ?
Réponse : Si un enfant reçoit de l'argent de poche, cela signifie qu'il a déjà la responsabilité d'utiliser l'argent comme il le souhaite et qu'il a atteint l'âge de l'éducation, et donc il doit être éduqué dans la mitsva et prélever le maassére. Et même si les parents avaient déjà prélevé le maassére de l'argent quand ils l'ont reçu, du fait que l'argent est passé aux mains de l'enfant, il doit prélever. Tout cela à condition que l'argent soit donné à l'enfant pour une utilisation totalement libre. Cependant, si les parents lui ont donné de l'argent pour voyager ou acheter un vêtement ou un appareil particulier, il n'est pas nécessaire d'en prélever. Et ce n'est que s'il reste de la monnaie et que les parents conviennent que leur fils l'utilise comme il le souhaite, qu'il devra prélever le maassére.
Question : Un soldat doit-il prélever le maassére sur l'argent qu'il reçoit de l'armée ?
Réponse : Oui. À moins qu'il ne soit pauvre et lui manquent des besoins de base, il est alors exempté du maassére.
Question : Doit-on prélever d'une allocation de maternité ou d'une allocation pour enfant, ou sont-elles destinées aux enfants ?
Réponse : Puisqu'ils sont destinés à être utilisés selon le souhait des parents, on doit prélever.
Méthodes de calcul à partir du Maassére
Question : Une personne qui perçoit un salaire doit-elle prélever du brut ou du net ?
Réponse : Du salaire net, car c'est l'argent qu'il reçoit.
Question : Prélève-t'on du salaire net, ou est-il possible de déduire du salaire le paiement de l'hypothèque et de la taxe foncière, et ensuite prélever le maassére sur le solde qui reste ?
Réponse: Le maassére doit être prélever sur tout le salaire net, et ce qu'une personne paie pour une hypothèque et une taxe foncière est considérée comme faisant partie de ses dépenses courantes, qui ne sont pas déduites du salaire.
Question : Une personne qui dépense de l'argent pour se rendre au travail, et pour la nourriture qu'elle achète au travail, peut-elle réduire ces dépenses-là du salaire net qu'elle a reçu ?
Réponse : Il est possible de déduire du salaire les frais de déplacement pour se rendre au travail, et prélever le maassére du reste, car sans la nécessité de se rendre au travail il ne se serait pas déplacé sur place. Cependant, acheter de la nourriture au travail n'est pas considéré comme une dépense de main-d'œuvre, car de toute façon il fallait se nourrir.
Question : Une personne qui épargne de l'argent dans un plan d'épargne ou un fonds de prévoyance, comment va-t-elle prélever le maassére ?
Réponse : Il doit prélever avant de déposer l'argent dans le plan d'épargne. Puis, à l'échéance, il calculera le profit réel qu'il a eu sur l'épargne, et il en prélèvera le maassére. Il en est de même pour celui qui investit son argent dans un fonds de prévoyance, il doit prélever le maassére avant de déposer l'argent dans les fonds, et lorsqu'il rachètera son argent dans le fonds de prévoyance, il calculera le bénéfice réel qu'il a eu au fil des ans, et en prélèvera le maassére.
Bien souvent, dans le cadre des avantages qu'accordent les employeurs aux employés, les employeurs mettent de l'argent de côté pour les fonds de prévoyance, et l'argent ne rentre pas dans le compte courant de l'employé. Il est alors difficile de calculer le taux du maassére. De ce fait, quand il retirera l'argent du fonds de prévoyance, il prélèvera le maassére sur la somme générale.
Question : Comment ceux qui ont investi leur argent dans des actions doivent prélever le maassére, dans les sommes gagnantes ou celles perdantes perdantes ?
Réponse : Il dressera un compte général, et si au total il a gagné, il prélèvera des bénéfices.
Et si au total il a perdu, il est dispensé du maassére. Et ce n'est qu'après avoir couvert ses pertes et commencé à faire un profit qu'il entreprendra à nouveau de prélever le maassére.
Question : S'il arrive qu'une personne ait besoin de donner une grosse somme de Tsédaka, bien plus que la somme de son maassére. Peut-il considérer la contribution comme un prêt du maassére ?
Réponse : Oui. Par exemple, une personne qui doit mettre de côté 1 000 NIS chaque mois et qui a donné dix mille en une seule fois à la Tsédaka, elle peut considérer les 10 000 NIS comme une dette de "maassére", et pendant les dix mois, elle ne prélèvera pas le maassére.
Question : Est-il préférable d'être précis dans le calcul du maassére à partir de chaque revenu, ou peut-on le calculer grossièrement ?
Réponse : Il vaut mieux calculer le maassére avec précision, et pour calculer avec précision un cahier ou un carnet doit y être consacré. Et cependant, celui qui est sûr qu'il en donne au moins le maassére, peut être quitte de la Mitsva même sans un calcul précis. Mais certains disent que la ségoula du maassére qui mène à la richesse, est précisément quand on calcule avec précision. Il vaut donc mieux tenir un registre précis, et s'il veut ajouter plus tard, il ajoutera, et nous avons déjà appris que la mesure du 'bon œil' (avec largesse et générosité) est de prélever un cinquième.
À quelles fins la dîme peut-elle être donnée ?
Question : Est-il possible de donner l'argent du maassére pour construire une synagogue ?
Réponse : Certains disent que l'argent du maassére doit être dirigé vers la charité pour les pauvres, d'autant plus pour les pauvres qui étudient la Torah, mais est interdit d'être dirigé vers d'autres mitsvote, comme la construction d'une synagogue (Maharil tel que cité dans Rama 289.1). Et certains disent qu'il est permis d'utiliser l'argent de la dîme également pour d'autres besoins de mitsva, comme la construction d'une synagogue ou l'achat de livres pour la synagogue (Maharam cité dans le Maharshal et Shach). Et si celui qui a commencé à mettre de côté la dîme s'est tenu de la donner aux pauvres, de toute évidence, il ne doit pas le donner pour d'autres mitsvote.
Et la coutume est, en effet, que la dîme puisse aussi être donnée à d'autres besoins d'une mitsva, comme la construction d'une synagogue ou la colonisation de la Terre d'Israel, mais qu'en premier lieu il est préférable de donner aux pauvres ou aux étudiants de la Torah.
Question : Est-il permis d'acheter des livres de kodech avec l'argent du maassére et d'écrire dessus qu'ils proviennent du maassére et que quiconque le souhaite peut les étudier ?
Réponse : Bien que dans le passé, certains Décisionnaires aient écrit qu'en cas de besoin, il est possible d'acheter des livres saints à partir du maassére, et d'écrire dessus qu'ils ont été achetés avec,, afin qu'ils sachent tout ce qu'ils sont autorisés à y étudier (Shach Ramet , III, 16a). Mais ils parlaient alors que les livres valaient un salaire mensuel, et quiconque achetait un livre et était prêt à le prêter à d'autres, lui rendrait un grand service, et beaucoup l'utilisaient pour une véritable étude. Bien que certains le permettent encore aujourd'hui, il semble en fait que de nos jours les livres sont bon marché, et que chacun peut se les procurer, et de même on ne doit pas acheter avec l'argent du maassére des livres saints pour son étude personnelle.
Cependant, celui qui veut étudier dans un livre particulier, et s'il prélève le maassére, il ne pourra pas acheter ce livre, et qu'il veuille vraiment l'étudier, alors il est défini comme pauvre et exempté du maassére, et s'il veut embellir la mitsva, il pourra inscrire que ce livre provient de l'argent du maassére, afin de le prêter à autrui ou au bout d'un certain temps, le donner au Bet Hamidrach.
Question : Est-il permis à une personne de s'acheter des tefiline et des mezouzote à partir de l'argent du maassére ?
RÉPONSE : Il est interdit de payer par l'argent du maassére des mitsvoth qu'une personne doit réaliser. Par conséquent, une personne n'est pas autorisée à acheter des tefiline et des mezouzote avec l'argent du maassére. Cepandant il lui est permis de les acheter pour une personne pauvre.
Question : Est-il permis de donner l'argent pour les deux dons aux nécessiteux (matanote Laévionim) à Pourim à partir du maassére ?
Réponse : Comme c'est mitsva obligatoire, il est interdit de les donner s'ils proviennent du maassére. Mais il faut savoir que l'obligation de donner à Pourim comme un sou aux pauvres, et certains disent comme une somme qu'on peut acheter du pain, en tout cas, cela concerne quelques (pièces de) shekels. Et si une personne veut ajouter et donner à Pourim un montant plus élevé pour les 'cadeaux aux nécessiteux', elle peut les donner du maassére.
Question : Est-il possible de donner la redevance d'un demi-shekel qui est généralement versée avant Pourim, ou l'argent des Kapparote la veille de Yom Kippour, à partir du maassére ?
Réponse : Puisqu'il est d'usage de donner ces dons aux pauvres, ils ne doivent pas être payés avec l'argent du maassére. Mais celui qui est dans le besoin peut leur donner de l'argent du maassére, car il n'y a aucune obligation absolue de les donner (le demi-chekel avant pourim et les Kapparote avant Yom Kippour).
Questions de personnes qui ont du mal à prélever le maassére
Question : Lorsqu'une personne est dans une situation difficile pendant un certain temps, doit-elle contracter un emprunt pour donner le maassére ?
Réponse : Il retardera le versement du maassére jusqu'à ce que son état s'améliore, et notera chaque mois dans son carnet combien il doit le maassére, et remboursera finalement toute sa dette. Par exemple, quelqu'un qui doit de l'argent à son ami, et ne peut pas rembourser sa dette et également prélever le maassére, il vaut mieux d'abord payer sa dette à son ami, et différer le paiement de son maassére à la Tsédaka dans quelques mois.
Question : Doit-on contribuer au maassére lorsqu'on est dans le rouge à la banque ?
Réponse : En règle générale, ne soyez pas dans le rouge à la banque. Certains disent qu'il y a une interdiction d'intérêt. Et il n'y a certainement aucune sagesse là-dedans. Et donc il faut d'abord couvrir le découvert à la banque et ensuite donner le maassére. Cependant, celui qui ne peut s'empêcher de gaspiller son argent et qui est toujours dans le rouge, il donnera le maassére même s'il est dans le rouge. Que le maassére ne soit pas moins important que tous les besoins superflus pour lesquels il entre en découvert.
Question : Un pauvre qui est incapable de subvenir aux besoins de sa famille de base, doit-il écrire dans son carnet tout ce qu'il a gagné, et attribuer le maassére comme une dette, afin que s'il devienne riche, il en fasse don à la Tsédaka ? Ou est-il complètement exempté et même s'il devient riche, il n'aura pas à payer la dîme pour la période où il était pauvre ?
Réponse : Une personne pauvre est complètement exemptée du maassére, et ce n'est que lorsque Hachem élargit sa limite qu'il commencera à prélever le maassére de ses bénéfices.
Question : Est-il possible, au lieu de donner le maassére, d'effectuer des travaux électriques pour une yeshiva à laquelle je souhaite contribuer ? Et comment calculer le coût de mes travaux, au forfait ou au tarif dégressif ?
Réponse : S'il s'agit d'un travail pour lequel la même institution a dû payer de l'argent, alors votre travail vaut de l'argent, et votre travail peut être considéré comme un paiement à la place du maassére. Et le coût du travail devrait être calculé en fonction du taux réduit, ce qui est courant chez les personnes qui entretiennent de bonnes relations entre elles, d'exécuter des travaux à un taux réduit. De plus, il faut sentir que l'instinct fera pencher l'addition vers le haut, afin de se débarrasser du paiement du maassére, et pour être sûr que l'addition est juste, il faut pencher de l'autre côté, à tarif réduit. Il convient également de noter que, puisqu'il s'agit d'un travail pour lequel il aurait pu recevoir de l'argent, on doit prélever le maassére sur seulement 90 pour cent de la valeur du travail, puisque le maassére aurait dû être payée pour le même travail dans tous les cas.
Est-il permis de payer les dépenses des enfants avec l'argent du maassére ?
Question : Les parents peuvent-ils considérer ce qu'ils dépensent pour leurs jeunes enfants comme faisant partie du maassére ?
RÉPONSE : Jusqu'à l'âge de six ans, de la Torah, les parents doivent soutenir financièrement leurs enfants, et les Sages ont continué à obliger les parents à soutenir les enfants jusqu'à ce qu'ils atteignent l'âge de treize ans (Ketubot 49, 2). Et puisque c'est obligatoire, on ne peut considérer ce qui est dépensé pour les enfants comme une Tsédaka. Et celui dont la situation est très difficile, et ne peut subvenir à ses besoins sans l'aide de l'argent du maassére, est considéré comme pauvre, et exempté de prélever le maassére.
Question : Les parents peuvent-ils payer les dépenses de leurs enfants qui ont dépassé l'âge de l'observance (au-dessus de 13 ans) avec l'argent du maassére ?
RÉPONSE: Bien que de la part de ce que les Sages ont prescrit, il n'y a aucune obligation de soutenir les enfants de plus de treize ans, de la part de cette ordonnance, qui est conçue pour prendre en charge les moyens de subsistance des enfants jusqu'à ce qu'ils puissent commencer à se débrouiller par eux-mêmes,(en subsistant) il est possible de continuer à les soutenir plus tard. Et il en va de même d'après la loi de l'État, selon laquelle les parents doivent subvenir aux besoins de leurs enfants jusqu'à l'âge de dix-huit ans. Par conséquent, les moyens de subsistance des enfants ne devraient pas être financés après l'âge de treize ans avec l'argent du maassére. Cependant, celui qui est financièrement acculé, peut considérer ce qu'il dépense pour ses enfants qui ont dépassé l'âge de 13 ans comme de l'argent provenant du maassére.
Question : Est-il possible de payer le Talmud Torah des garçons avec l'argent du maassére ?
Réponse : Puisqu'il s'agit d'une mitsva de la Torah, que le père doit enseigner la Torah à son fils ou lui embaucher un enseignant pour lui enseigner la Torah, et empêcher ses enfants de se dégrader, on ne doit pas réaliser cette mitsva à l'aide du maassére. Mais si les garçons sont grands et que les parents paient leurs professeurs ainsi que leur nourriture et leurs vêtements, et que leur situation est désastreuse/difficile, il est permis de considérer l'achat de la nourriture et des vêtements des enfants comme étant du maassére. Et quand ils vivent dans un internat, il est permis de payer l'internat à partir du maassére.
Est-il possible d'aider les enfants plus âgés et mariés par le maassére ?
Question : Les parents peuvent-ils aider leurs enfants de dix-huit ans, célibataires ou mariés, avec leur maassére?
Réponse : Si les enfants sont considérés comme pauvres à ce même moment, soit, sans cette aide ils n'ont pas de quoi obtenir leurs besoins de base, on peut considérer ce qu'on leur donne comme faisant partie du maassére. Mais si les parents sont pécuniairement stables et établis, et donnent à leurs enfants leurs besoins en abondance, leurs enfants ne sont pas considérés comme pauvres et on ne peut leur donner du maassére.
Par exemple, s'ils achètent des vêtements bon marché et économisent sur toutes leurs dépenses, les enfants peuvent être considérés comme pauvres, et dans tous les cas ce qui les aide peut être considéré comme de l'argent du maassére.
Mais s'ils vivent relativement bien, comme acheter des vêtements chers ou dépenser de l'argent pour se divertir dans les restaurants et autres sorties, ils ne sont pas considérés comme pauvres, et ce qu'ils dépensent pour eux ne doit pas être considéré comme du maassére.
Et ainsi en est-il des enfants qui se sont mariés, s'ils possèdent une voiture, il est clair qu'ils ne sont pas considérés comme pauvres, et on ne doit pas être considéré ce qu'on leur donne comme du maassére. S'ils ont acheté des meubles chers, ils ne sont pas considérés comme pauvres. Car s'ils étaient pauvres, ils achèteraient des meubles d'occasion ou simples. Et de même, si les parents leur ont acheté un appartement, ou qu'ils louent un appartement relativement cher, comme en ville et non dans la localité, ils ne peuvent pas être considérés comme pauvres.
En général, les parents ne peuvent envisager l'assistance d'enfants qui ont dépassé l'âge de dix-huit ans, qu'à la condition qu'ils vivent modestement. Ainsi, le paiement de leur nourriture, de leurs vêtements et de leur voyage peut être considéré comme de l'argent du maassére, de même que le paiement des études pour obtenir une profession, car en faisant cela, les enfants peuvent ensuite subsister avec respect. Et nous avons déjà étudié que la plus grande Tsédaka est d'aider son prochain pauvre à subsister par ses propres moyens. Et le paiement de leurs études à la Yéchiva après 18 ans, peut être considéré comme du maassére, dont l'important du paiement est l'internat. Mais si les enfants ne vivent pas frugalement mais comme il est de coutume dans la société, alors leur statut est celui de gens plus ou moins ordinaire, et en aucun cas ils ne sont considérés comme pauvres, et ce qui leur est donné ne doit pas être considéré comme du maassére.
Voici quelques cas (Rav Ben Tsion Moutsafi) :
Maassére non obligatoire
Question - 207489
Un sage m'a dit au nom des grands décisionnaires ashkénazes, après en avoir discuté avec lui, qu'une personne qui donne le maassére et reçoit un remboursement d'impôt de l'État selon l'art, n'a pas réalisé la mitsva, car la somme revient dans sa poche ?
Réponse
L'argent du maassére n'est pas une obligation et n'est pas mentionné dans le Choulchan Arouch.
Si Maassére est obligatoire
Question - 203164
Maassére (kssafim-dîme pécunière)
Est-il vrai que les séfarafes n'y sont pas astreints ? Et si oui, est-il permis de s'en abstenir pour marier les filles à des Bnei Torah qui iront étudier ?
Réponse
Je vais te dévoiler un secret : l'argent de la dîme (maassére) n'est pas une obligation mais une vertu (ségoula) pour la richesse. Et celui qui garde pour le mariage de ses enfants, heureux soit-il et heureux en soit sa part, et je serai son voisin dans le Gan Eden.
Conditions du maassére
Question - 207637
Est-ce que la promesse de s'enrichir en versant le maassére est le maassére de 20 pour cent, ou 1/10 ?
Réponse
A condition que son argent soit pur et propre, et qu'il n'ait aucune tache de pillage dans un travail fidèle et qu'il n'ait commis aucune tromperie ou ruse.
20 pour cent
Question - 202835
A. Dieu merci, mon père me donne de l'argent chaque mois, je suis autorisé à donner de cet argent à 20 pour cent, car je ne travaille pas et habite dans la maison de mes parents
B. Quelle est la loi concernant une personne qui a déjà donné un Chumash (20 pour cent), s'il peut contribuer à la charité par exemple dans la prière
Réponse
Va Travailler et vivre dans ta propre maison.
Vérifier avant de donner
Question - 228219
Dans ce document, je donne des dîmes de 20% comment puis-je savoir sur la personne qu'il étudie vraiment ? Est-il juste d'aller vérifier et ensuite seulement de donner ?
Réponse
Il est interdit de donner un shekel sans un examen approfondi.
Définition pauvre
Question - 227738
Qui est une personne considérée comme pauvre dans notre génération ? (Et pas nécessairement au sujet du maassére mais e, général).
Réponse
Une personne dont les revenus sont très faibles, et qui n'a aucun moyen de gagner sa vie même dans l'austérité, est considérée comme pauvre, surtout lorsqu'elle a des enfants à charge.
Maassére sur de la Tsédaka
Nous avons reçu des coupons à acheter au supermarché
Besoin de prélever le maassére ?
Réponse
Définitivement pas
Somme maassére
Question - 224274
La somme de mon maassére n'est pas exacte, et j'arrondie (je donne 20% et après avoir arrondi, ça sort plus de 20%), est-ce correct ou est-ce interdit ?
Réponse
Il n'y a aucune interdiction à ce sujet.
Somme du maassére
Question - 213304
Un avreh' dans une situation financière pas facile qui a reçu une somme d'aide et de soutien. Faut-il donner le maassére ? Habituellement ne verse pas de maassére.
Réponse
Dieu nous en préserve, sachez que toute bourse qu'un homme ou un étudiant reçoit est exemptée du maassére. 1, parce qu'ils lui ont dit d'utiliser cette somme du maassére. 2, car cet argent est lui-même du maassére, et qu'il n'y a pas à prélever de maassére sur une somme de maassére.
Net ou brut ?
Question - 217487
Mon mari est indépendant et a reçu des bourses pendant la période du covid, maintenant on lui a dit qu'il devrait payer des impôts sur les bourses, donc elles devaient être déduites de son salaire.
Réponse
Après déduction.
Impôts
Question - 115499
Il y a une semaine, j'ai posé des questions sur les maassrote et je ne pouvais toujours pas comprendre la réponse.
Le rabbin a dit qu'on donne le maassére après avoir payé les impôts.
Qu'entend-on par impôts ? Si possible, des exemples détaillés s'il vous plaît.
Merci
Réponse
Impôt sur le revenu, taxe foncière, TVA, sécurité sociale.
Bourses/allocations
Question - 212558
Les maassére devraient-ils être payés à partir des fonds de pension et des prestations de sécurité sociale ?
Réponse
Aucune nécessité.
Bourses/allocations
Question - 215493
Puéricultrice, au lieu de sortir pour une année de formation je continue de travailler. Le salaire qui aurait dû m'être versé chaque mois de l'année de formation à partir du fonds de formation qui m'a été épargné à un moment donné, 75 000, est-il assujetti au maassére ?
Réponse
Un fonds d'études est exonéré de maassére.
Bourses/cadeaux
Question - 210131
J'ai acheté des tissus pour la soucca pour 1000 NIS, puis les parents de ma femme ont entendu que nous avions acheté et ont dit qu'ils paieraient pour cela et nous ont donné l'argent en espèces. Dois-je verser le maassére pour l'argent que j'ai reçu ?
Réponse
Définitivement pas.
Situation difficile
Question - 214575
Dieu merci, notre situation économique n'est pas terrible ...
Il n'y a pas tellement d'argent qui rentre et même lorsque l'argent rentre, il va directement dans le loyer et autres factures.
Nous sommes vraiment désolés de ne pas réussir à prélever le maassére. Que faire ?
Réponse
En attendant, vous êtes exempté jusqu'à ce que Hachem élargisse vos frontières.
Dettes
Question - 215006
Bonjour au
Je voulais demander si en principe un débiteur doit aussi verser le maassére ?
Réponse
Il n'y a pas de permis général pour un débiteur. Il n'y a pas non plus d'autorisation d'être débiteur. Uniquement dans des cas exceptionnels.
Dettes
Question - 221629
Verser le maassére pour devenir riche. Un homme qui a des dettes et difficilement lui reste de quoi se nourrir à la fin du mois. Et ne réussit pas à clôturer le mois. Dans une telle situation, comment augmenter encore la bénédiction de la richesse ?
Réponse
Il est exempt de maassére.
Remboursement dettes aux parents
Mes parents contractent un prêt auprès de la banque pour que j'achète une voiture, le remboursement de la dette à mes parents chaque mois est-il considéré comme du maassére ?
Réponse
Certainement pas.
Endetté
Question - 233989
Je suis endetté en payant beaucoup d'argent pour rembourser. Suis-je obligé de verser le maassére ?
Réponse
Vous ne devez pas donner. Les dettes ne sont pas autorisées. S'il vous plaît, arrêtez votre façon de vivre bizarre (déplacée) qui vit aux dépens de l'argent introuvable.
Endetté
Question - 233474
Dette envers la banque 100 000 remboursement mensuel de 2000
Est engagé dans du maassére/œuvres caritatives et s'engage à tout faire, y compris les heures supplémentaires, pour couvrir la dette
Réponse
Totalement exempté du maassére.
Payer dettes/amende avec maassére
Question - 233118
Question sur le maassére, est-il permis de payer avec le maassére, une amende que mon fils doit payer tous les mois. Mon fils est en prison, est-ce considéré comme de la Tsédaka ?
Réponse
Cette mitsva est proche du rachat des captifs et donc permis.
Dettes
Question - 232984
Quiconque a des dettes et des saisies à la banque, à des instituts (même gouvernementaux) et non à des particuliers, est-il autorisé par la halakhah à donner du maassére ?
Réponse
Il doit rembourser toutes les dettes et ne doit pas contracter d'autres.
Dettes
Question - 212673
Ma sœur s'est retrouvée dans une situation financière difficile avec de très grosses dettes. Elle dépense beaucoup d'argent chaque mois en maassére et c'est un vœu qu'elle tient depuis de nombreuses années. Peut-il réduire les maassrote à un paiement symbolique jusqu'à ce qu'il soit équilibré ?
Réponse
Il lui est interdit de prélever le maassére lorsque sa situation financière est lésée.
Dette et écoles
Question - 202019
Pendant longtemps, je n'ai pas payé le talmud Torah de mon fils. Maintenant, j'ai un salaire fixe et je veux prélever le maassére. Puis-je rembourser le salaire mensuel au Talmoud Torah à partir de l'argent du maassére ? Puis-je payer la dette accumulée avec l'argent du maassére ?
Réponse
Définitivement oui. Vous serez béni.
Dettes
Question - 184241
J'ai entendu du rabbin que quiconque a des dettes ne prélèvera pas de maassére tant qu'il n'aura pas remboursé ses dettes, et j'ai oublié où cela apparaît.
Réponse
Le Sefer Hassidim (13éme siècle Rhénanie, Rabbi Yéhouda HAh'assid) écrit : "Celui qui doit aux autres ne multipliera pas dans la justice jusqu'à ce qu'il ait remboursé." Et ce sont des dettes envers les particuliers.
Dette
Question - 181582
Les dîmes doivent-elles être payées en premier ou les dettes payées en premier ?
Réponse
Si les dettes sont urgentes, il les remboursera d'abord le plus rapidement possible, mais les dettes avec un échéancier ordonné, en épargnant autant qu'il le pourra.
Dette
Question - 178942
Est-il permis de payer des dettes à partir des dîmes (maassrote) ?
De manière à ce que quelqu'un qui me doit de l'argent et ne me rembourse pas et que moi-même je doive de l'argent à un tiers - ai-je le droit de payer ma dette avec mon maassére entre-temps ?
Réponse
Pour l'instant oui
Dette
Question - 171151
Nous sommes un couple avec une fille et une autre en route, si Dieu le veut.
Je travaille à plein temps et gagne environ 7 000 shekels, nous avons des dettes de plusieurs dizaines de milliers de shekels,
Avons-nous besoin de prélever le maassére ou non ?
Réponse
Certainement, car que les dettes sont un excès inutile
Dettes
Question - 224110
J'ai entendu dire que le maassére ne devrait pas être donnée quand il y a des dettes envers les gens et quand il y a des dettes envers la banque comme pour un prêt ? (Pas d'hypothèque)
Réponse
Oui exact, celui qui doit des dettes doit moralement et surtout halakhiquement rembourser les dettes et ne pas être un voleur.
Sefer Hassidim et dans Chesed lalafim et d'autres. Il ne peut être un voleur et distribuer comme un riche de la Tsédaka.
Accident
Question - 216084
J'ai reçu une somme d'argent pour un accident du travail qui m'est arrivé et qui existe toujours. Une déchirure à la main et une fracture. Dois-je payer le maassére ?
Réponse
Totalement exonéré.
Pension
Question - 223683
je reçois une pension d'invalidité.
Réponse
Vous êtes totalement exempté du maassére.
Pension
Question - 210037
Dois-je prélever le maassére sur l'argent de la pension de retraite de la sécurité sociale ?
Réponse
Définitivement pas. Toutes les pensions sont exonérées de maassére.
Pension
Question - 207450
Je vis d'une pension d'invalidité et parfois je la donne aussi à mes parents (qui vivent d'une pension de vieillesse) pour les courses et les médicaments, est-ce que je dois prélever le maassére ?
Réponse
Totalement exonéré car vous ne percevez pas un salaire, mais une pension.
Assurance
Question - 228252
Quiconque a eu un accident de voiture et a reçu de l'argent de l'assurance devrait donner le maassére ?
Réponse
Totalement exempt.
Assurances
Question - 225987
L'argent reçu de l'assurance doit-il être prélevable par le maassére ?
Réponse
Les fonds de compensation et assurances sont exonérés du maassére.
Virement bancaire
Question - 213575
Transfère du maassére par virement bancaire. Le coût du virement bancaire peut-il être déduit du montant du maassére ou doit-il être payé de ma poche ?
Réponse
Moitié pour vous, moitié pour la caisse de la banque.
Mariés/pauvres
Est-il permis d'acheter avec le maassére des appareils électroménagers comme cadeau pour le marié et la mariée?
Réponse
Le maassére appartient aux pauvres. Donc, s'ils sont pauvres, vous découvrirez exactement ce dont ils ont besoin et ce qui leur manque.
Mariage
Question - 203216
Pourquoi est-il si important à un homme de mettre de côté une partie de son maassére pour le mariage de ses enfants ? Après tout, dans tous les cas, avec ou sans la provision du maassére, le père doit financer le mariage de ses enfants.
Réponse
La plupart des gens ne sont pas riche, et ils ne peuvent pas aider lors du mariage des enfants comme il faut. Lorsqu'il économise son maassére, il allège leur difficulté, et réalise la mitsva 'n'ignore pas ta chair (tes enfants)'.
Cadeaux et célibataire
Question - 196786
Est-il permis de donner une partie de la dîme comme cadeau de Pessah' à sa sœur ? Et le reste de la somme à un endroit de Tora ?
Et une fille célibataire devrait-elle donner le maassére pendant les mois où elle peut ou ce n'est pas nécessaire ??
Réponse
Il est permis de donner à sa sœur si elle est en difficulté financière. Et seulement une partie, car une fille célibataire doit économiser pour le mariage.
Mariage/appartement
Question - 202573
Le rabbin m'a ordonné d'arrêter le maassére car je vais bientôt me marier.
La décision est-elle valable jusqu'au jour du mariage ou jusqu'à l'achat de l'appartement ?
Réponse
Jusqu'à l'achat de l'appartement. Bonne réussite.
Mariage
Question - 216368
Dois-je épargner le mmaassére pour un futur mariage, ou aider mes parents ? Je vais débuter les propositions de mariage sous peu (je travaille actuellement et j'étudie un métier et dans un mois j'ai 20 ans)
Réponse
Économisez pour un mariage.
Mariage
Question - 208875
Est-il permis de donner un cadeau à un mariage (à un avreh') à partir du maassére ?
Réponse
Juste ce qui s'ajoute au-dessus du prix du plat que vous consommerez au mariage.
Chalom Bayite
Question - 207964
Je voulais savoir si je pouvais garder l'argent du maassére et acheter un cadeau à ma femme.
Réponse
Tu peux. Parce que c'est une mitsva de paix à la maison.(pour le Chalom Bayite)
Mariage
Question - 211968
Je suis une fille à l'âge de présentations matrimoniales (chidouh'im)
Je prélève le maassére.
Dois-je apporter l'argent à mon père qui est avréh' et à mes nombreux frères dans les yeshivas et le Talmud Torah
Ou le garder pour mes dépenses d'un futur mariage ?
Réponse
Pour les frais de mariage.
Mariage
Question – 232091
Futur marié dans les préparatifs du mariage, et-il besoin de donner le maassére ?
Réponse
oui
Mariage
Question - 212738
Est-il permis de donner du maassére pour aider à un mariage (hah'nassate kala) ?
Réponse
Définitivement oui.
Mariage
Question - 219127
Est-il possible de donner l'argent du maassére à un marié étudiant à la yeshiva qui se marie et je sais avec certitude que l'argent va aux bijoux de la mariée ?
Merci
Réponse
Donnez la dîme aux familles affamées, et il y en a beaucoup.
Mariage sans enfants
Question - 224221
Je me suis marié il y a un an. Ce mois-ci mon mari a des revenus du travail (il est indépendant) Doit-il être déduit uniquement de son salaire ou également des revenus ?
Réponse
Exempté de maassére.
Appartement/mariage
Question - 224332
Une partie des maassrote est réservée pour mes petites filles. L'aînée a 11 ans. Suis-je autorisé à utiliser l'argent pour acheter un petit appartement pour investir et l'utiliser à l'avenir pour mes filles ? Nous avons déjà une maison sans hypothèque.
Réponse
À condition que tous les revenus et la somme de base appartiennent uniquement à leur mariage.
Mariage
Question - 224323
Quel bon conseil en ce qui concerne le maassére, pour une fille célibataire qui travaille et veut fonder une maison de Torah et épouser un avréh'?
Réponse
Économisez pour un mariage.
Parent seul et enfants
Question - 228372
Je perçois 4415 chekel de la caisse d'allocation et prend en charge deux autres enfants. je paie une hypothèque de 1000 NIS. Combien d'argent sur des dizaines dois-je donner ?
Réponse
Pas même un sou, au contraire, vous et vos enfants méritez d'en recevoir des maassrote !!
Question - 219211
Qu'en est-il de l'argent que j'ai épargné dans un fonds de prévoyance / fonds d'études / épargne retraite / pension), etc. Le maassére est-il obligatoire ou peut-il être épargné pour un mariage et un appartement ?
Je suis célibataire et j'envisage de me marier
Réponse
Une femme célibataire est exemptée du maassére et épargnera pour un mariage et un appartement.
Famille
Question - 169815
Je voudrais demander s'il est possible de donner le maassére à ma famille qui a la chance d'avoir beaucoup d'enfants,et sont aussi de nouveaux immigrants avec des dettes et mon frère étudie dans la yeshiva à Ofakim? Merci
Réponse
Absolument oui, ceux-ci méritent de recevoir des maassére.
Famille
Question - 227714
Est-il permis de donner la dîme aux parents ou à un frère qui n'étudie nécessairement pas la Torah mais dont les enfants étudient dans un Talmud Torah ? Et si une veuve est autorisée à donner son maassére ?
Réponse
Le maassére est pour les pauvres, s'ils sont pauvres, donnez-leur.
Famille
Question - 205915
Bonjour, concernant le maassére, le rabbin m'a dit de ne donner aux membres de la famille s'ils n'ont rien à manger. J'aimerais savoir quelles sont les autres possibilités de donner des maassrote ?
Réponse
Les maassrote (dîmes) sont pour les pauvres. Par conséquent, lorsqu'il y a aujourd'hui des familles pauvres qui ont faim et manquent de nourriture, une personne n'est pas autorisée à donner à ceux qui ont de la nourriture et à ignorer les pauvres qui n'ont rien à manger, et nous sommes appelés alors voleurs de pauvres.
Famille
Question - 205293
- Est-il possible de donner l'argent du maassére à ma belle-mère (divorcée avec 2 enfants à la maison)
- Je donne le maassére à mes sœurs qui sont mariées à des avréh'im. Est-il permis de donner toutes les maassrote aux membres de la famille ?
Réponse
Seulement s'ils sont pauvres.
Famille et kollel
Question - 226827
Je veux aussi donner mon maassére à mes filles
Pour un mariage ou l'achat d'une maison.
Quel pourcentage pour mes filles et combien pour ceux qui étudient au kollel ?
Réponse
Le maassére est à donner personnellement aux pauvres et non à l'institution. Par conséquent, si vos filles étudient la Torah, donnez-leur les deux tiers. Et un troisième pour les pères des petits. Et si les petits-enfants travaillent, donnez-leur un tiers et aux étudiants les deux tiers.
Famille à la place d'avréh'im
Question - 233198
Ma sœur est dans une mauvaise situation financière, je donne habituellement le maassére aux talmidé h'ah'amim. Puis-je donner le maassére à ma sœur pendant quelques mois jusqu'à ce que son état s'améliore ?
Réponse
Définitivement oui. Grande mitsva.
Talmoud Torah
Question - 220460
Est-il possible d'acheter à l'aide du maassére des collations et des sucreries pour les enfants qui viennent aux Téhilim le Shabbat ?
Réponse
C'est une grande mitsva, et c'est sur elle que repose le Monde. Soyez bénis.
Paiement scolarité
Question - 231195
Mon frère l'année prochaine va étudier dans une yeshiva. Mes parents gagnent un salaire moyen. Les frais de scolarité de la yeshiva sont de 1000 chequel par mois. Suis-je initialement autorisé à payer ses frais de scolarité à partir de mon maassére ?
Réponse
Définitivement oui.
Ecole
Question - 216901
Le petit-fils de 4 ans étudie dans un talmud Torah. Je (la grand-mère) paie tous les mois les frais de scolarité de mon petit-fils, sans vœu, avec du maassére, pour aider les parents.
Réponse
Absolument oui, soyez bénis du ciel.
Dettes/Divorce
Question - 215999
Je suis divorcé depuis six mois, je vis avec mes parents et j'ai une dette de la période de mariage de 19000 envers la banque.
Mon salaire est de 4 000 shekels.
Dois-je donner le maassére et si oui à qui ???
Réponse
Seulement après avoir payé les dettes.
Divorce/pension
Question - 211444
Je suis remarié et je paie à mon ex-femme une pension alimentaire pour les enfants communs.
(Est-ce considéré comme du maassére) ?
Réponse
Définitivement oui.
Divorcé/e
Question - 226777
Une femme divorcée qui reçoit une aide pour le loyer, les allocations familiales, la pension alimentaire et le salaire, doit-elle déduire le maassére ou la totalité de ce qu'elle reçoit ?
Réponse
Parce qu'elle s'occupe seule des enfants, elle est exemptée du maassére
Pierre tombale
Question - 232517
Un enfant peut-il participer au paiement de la pierre tombale avec du maassére.
Réponse
S'il n'y a pas d'autre source.
Héritage
Question - 202547
Est-il permis avec cet argent d'apporter un rouleau de la Torah pour élever l'âme de mon défunt frère et père
Réponse
La mitsva de se marier est plusieurs fois supérieure à la mitsva d'apporter un rouleau de la Torah, alors gardez-le pour le mariage.
Montée à la Torah/communauté
Question - 235645
Acheter les montées à la Toraj dans la synagogue le Shabbat et les jours fériés est-ce considéré comme du maassére ?
Réponse
En dehors du maassére
Achat de mitsvote
Question - 223865
Un homme qui veut remplacer en achetant une Méguila d'Esther, et donner l'ancien à un parent. Peut-il le faire avec du maassére ?
Réponse
Pas avec du maassére car il vole les pauvres.
Rabbins/communautés
Question - 234596
Est-il juste de donner lle maassére au rabbin de la synagogue qui fait beaucoup pour la communauté. Mais il achète tous les voeux pour 1000 chéquel chaque année. Et après avoir passé les tests rabbiniques, il a également quitté la ville, quittant le kollel et étudiant seul.
Réponse
On doit donner le maassére aux étudiants pauvres et affamés qui ont des familles.
Achat appartement en Israel
Question - 232553
Nous avons gagné et nous achetons maintenant un appartement en Israël. Nous avons récemment commencé la thérapie émotionnelle pour les enfants et la thérapie de couple. Est-il possible de payer les traitements avec le maassére ? (Sinon nous ne pouvons pas continuer ces thérapies)
Réponse
Définitivement oui.
Maassére sur Plus value vente maison
Question - 232488
J'ai vendu la voiture afin d'avoir de l'argent liquide pour acheter une plus grande maison. Le maassére de la vente devraient-elles être mises de côté du profit ?
Parce que j'ai acheté la voiture à un prix moins cher et que j'ai vendu un peu plus.
Réponse
Définitivement non. Parce qu'il n'y a aucun but commercial ici.
Maison
Question - 231954
B'H j'ai reçu un appartement de mes parents en cadeau dans le passé.
Nous l'avons maintenant vendu pour acheter un appartement dans notre quartier résidentiel.
Ai-je besoin de prélever le maassére sur l'argent d'achat?
Merci
Réponse
Définitivement non.
Achat d'une maison
Question - 228153
Bonjour au rabbin, j'ai mérité un an après un mariage, d'acheter un appartement. Chaque mois je mets de côté le maassére. Accumulé environ à 10 000 chequel dans la caisse du maassére, est-il permis d'utiliser cet argent pour acheter l'appartement ?
Réponse
Exonéré du maassére pour l'achat d'une maison.
Plus-value sur loyer
Question - 226367
Loyer mensuel 15 000, nous avons un appartement d'une valeur locative de 4 500, je souhaite louer l'appartement à un étudiant sur lequel nous nous sommes renseignés avec 5 enfants à 2 500. La différence de 2 000 du loyer sera-t-elle considérée comme maassére ?
Réponse
S'il y a un locataire réel au plein tarif, oui.
Appartement/maison
Question - 222526
Un couple de travailleurs avec un enfant et prévoit un autre B.A. Revenu 13 000. Mon père nous donne en cadeau 2000 en plus. Nous avons gagné B.H. au prix par occupant. Nous avons jusqu'à présent économisé 300 000 pour achat d'appartement
Combien faut-il donner de maassére ?
Réponse
Après l'achat de l'appartement, vous commencerez à mettre de côté du maassére, pas pour l'instant.
Maison
Question - 220585
Un couple est marié depuis un an et demi. Le mari travaille. La femme a maintenant commencé à travailler et vivent dans une maison louée. Ils veulent acheter un appartement.
Est-il possible de mettre de côté la moitié ou une partie du montant du maassére pour l'achat de l'appartement appartement, ou doit-on donner le maassére sur tous les salaires ?
Réponse
Donnez la moitié aux vrais pauvres.
objet
Question - 231970
Puis-je acheter un téléphone portable casher avec le maassére ? Réponse
Non.
Enfant
Question - 208916
Notre fils de 20 ans ne vit pas chez ses nous et travaille, doit-il aussi donner de l'argent aux pauvres pour les repas de fête et participer aux frais des invités que nous recevons pour la fête ?
Ma contribution pour le repas de fête pour les pauvres est-elle possible à partir du maassére ou non ?
Réponse
Le fils donnera ce qu'il pourra.
Avreh'- qui étudie au Kollel
Question - 219730
Qu'est-ce qu'il y a de mieux à faire avec le maassére :
Accord d'Issacar et Zabulon (un étudie l'autre travaille et ils se complètent) avec un étudiant sérieux dans le besoin.
Ou faire un don directement au kollel ?
Réponse
Prenez un étudiant sérieux.
Cadeaux de Brite Mila
Question - 199055
Devrions-nous donner le maassére des dons que nous avons reçus pour la Brite Mila ?
Réponse
Certainement pas, car ils ont été donnés pour la joie de dépenser et d'acheter des affaires pour la mère et au circoncis.
Soldat
Question - 218374
Je suis un soldat.
Dois-je payer le maaser de mon salaire militaire ?
Réponse
C'est de l'argent de poche et exempt de maassére.
Soldat
Question - 211489
Je suis un soldat qui sera bientôt libéré du service régulier. Je voulais savoir si je devais donner le maassére de la subvention de libération que je recevrai de l'armée ?
Réponse
Totalement exempté
Talmid h'aham – qui étudie la Torah
Question - 210597
Quelqu'un a pris 150 $ de maassére pour donner à la charité à un talmid h'ah'am. Ce dernier est parti dans une autre ville lointaine, l'argent peut-il être remis dans les coffres des maassrote ? Ou le donner à quelqu'un d'autre ?
Réponse
Donnez à une personne qui étudie la Torah et se trouve dans le besoin.
Dons
Question - 218278
En ce qui concerne les dons à un Institut ou association et le maassére, je verse 80 shekels de dons par an, est-ce que je suis quitte du maassére ?
Réponse
Si vous faites le maassére chez vous, vous n'avez pas besoin de souscrire à aucune association ou yéchiva. Donnez le montant aux pauvres avec des bébés !
Dons
Question - 201051
Le kollel nous demande de faire un don par son intermédiaire et il transmettra aux élèves dont la situation est difficile
Réponse
Transférer l'argent uniquement de main en main et non par des intermédiaires.
Dons
Question - 202360
Je donne régulièrement à toutes sortes d'institutions. Tous mes enfants sont des avréh'im. Mon plus jeune fils aussi et il vit vraiment une situation difficile. Puis-je transférer l'argent des institutions à mon fils (sachant que donner à une institution peut devenir un vœu que l'on doit annuler)
Réponse
Vous enrichissez les "institutions" jusqu'à ce qu'elles n'aient plus rien à faire avec l'argent et l'utilisent pour sortir en vacances ou excursions lors de voyages à l'étranger.
Alors que je préviens et vous n'écoutez pas.
Mesure de plusieurs maassére
Question - 202503
Mes filles me donnent le maassére et avec mon argent, nous transférons aux avréh'im qui ont de jeunes enfants.
Réponse
Seulement un tiers du total.
Condition
Question - 211668
Je voulais savoir si en donnant le maassére à un talmid h'ah'am qui étudie la Torah, on peut lui demander d'étudier pour un parent disparu ou malade ?
Réponse
Vous pouvez le dire vous-même (pour l'élévation de l'âme/pour la guérison ou la réussite)
Tsédaka/familles nécessiteuses
Question - 222267
Est-il permis de distribuer des bouteilles de jus de raisin acheté avec du maassére pour Pessah' ?
Réponse
Il est préférable de donner de l'argent aux familles.
H'essed
Question - 204659
Au sujet d'une famille très nombreuse, dont la situation financière est pour l'instant stable, mais impossible d'acheter un mazgan. Il est possible de les aider en versant le maassére, ou alors choisir de donner le maassére à un avréh' marié mais sans enfants.
Réponse
Grande mitsva de les aider à acheter un climatiseur, car la vie est difficile sans climatiseur.
H'essed
Question - 203922
Ma fille est mariée à un étudiant Tsadik et elle ne travaille pas non plus (à cause du covid, qu'Hachem protège son peuple Israël - les donateurs du kollel ont cessé leur soutien) et il y a de petits enfants en bas âge. Est-il possible de leur transférer toutes les maassrote ?
Réponse
Toutes les maassrote sont pour eux, et c'est une grande et importante mitsva de raviver leurs âmes et celles de leurs enfants.
H'essed
Question - 214013
B.H. j'ai le privilège de donner le maassére à la veuve d'un avréh' avec 9 jeunes enfants. On m'a récemment contacté pour aider un avréh' veuf avec 7 enfants. Malheureusement, pour le moment, je ne peux pas les aider tous les deux. Qui d'abord ?
Réponse
Continuez votre soutien et ne vous arrêtez pas.
H'essed
Question - 216571
Ma mère de 86 ans a besoin d'un travailleur étranger pour l'aider, mes frères et moi avons besoin d'ajouter de l'argent pour compléter le salaire du travailleur étranger. Est-il possible de compléter avec l'argent du maassére ?
Réponse
C'est une grande mitsva à payer de votre propre poche. Et pas de l'argent (maassére) qui appartient au pauvre.
H'essed
Question - 212590
Aujourd'hui, mon mari est tombé sur une personne qui lui a demandé de l'aide pour payer la facture d'électricité, à partir du maassére.
Réponse
Certainement pas.
H'essed
Question - 212445
Qu'y a-t-il de plus important à faire avec le maassére ? Faire un don aux patients atteints de cancer ou aider une future mariée (hah'nassate kala) ?
Réponse
Nourrir les familles pauvres.
H'essed à la place du maassére
Question - 219282
Mon mari est bénévole dans l'organisation Ihud Hatzalah et dans Maguen David Adom (ambulance et secours)
Dernièrement, mon mari est le seul soutien de famille et il est difficile de faire des maassrote. J'ai dit à mon mari que le bénévolat peut remplacer la dîme, n'est-ce pas ?
Réponse
Oui absolument.
H'essed
Question - 216168
Je loue un appartement à une famille qui gagne peu sa vie.
Le montant que je leur facture est d'environ 1200 shekels en moins du prix du marché.
Puis-je compter l'écart comme une œuvre caritative que je donne chaque mois ?
Réponse
Certainement oui et venez pour la bénédiction.
H'essed
Question - 224909
Une mère a besoin de chaussures orthopédiques et n'a actuellement aucune option financière. Est-il possible de lui donner le maassére à cette fin ?
Réponse
Définitivement oui.
H'essed
Question - 220746
Est-il possible d'utiliser du maassére pour participer à l'achat des premières téfilines de la vie d'un ami au travail ?
Réponse
Seulement si sa situation financière est difficile.
Date de dernière mise à jour :
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