Il n'y a pas de limite à la Téchouva : le cas de Nébouzaradane
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Nébouh'adnétsar ne se trouvait pas à Jérusalem, lors de la destruction du Temple. Cependant, Nébouzaradane, chef des armées, le représentait. Après avoir défoncé la Porte de Jérusalem à coup de hache en métal, l'armée babylonienne s'enfonça dans la ville tuant toute créature sur son passage, des bêtes aux hommes. Nébouzaradane fit irruption dans le Temple avec ses hommes et demanda au sujet de la marre de sang qui bouillonnait dans un coin. Les Cohanim lui répondirent, que là gisait le sang des sacrifices. Il examina et constata le sang versé du Prophète Zéh'aria, assassiné par ses propres frères. De colère, Nébouzaradane tua des milliers d'enfant et de Cohanim (plus de 3 millions de juifs en tout). Mais le sang ne s'était pas apaisé.
Nébouzaradane hurla et demanda jusqu'à quand le sang de ce prophète cessera de réclamer vengeance ?
Hachem fit un signe au sang de s'apaiser. Comment, lui, Nébouzaradane, pourrait payer pour tant de meurtres qu'il commit, alors que Zéh'aria n'était qu'un seul crime ?
Il prit conscience de l'horreur de la situation et s'enfuie.
Il devint un Guér Tsédék.
