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1, 2, 3, nous irons au bois

1,2,3, nous irons aux bois

 

Il faut en finir avec le problème  des goyim (attention ! et non en finir avec les goyim ! grosse différence). Les alliances juifs et "gentils" (traduction du terme goyim, comme si ils étaient gentils – c'est une des nombreuses notes de la censure chrétienne et de la peur juive exilique) ont provoqué un endommagement majeure durant les derniers deux cents ans.

Ce qui est appelé 'L'assimilation'.

On pensait que le couscous-boulette du vendredi soir allait garder la spécificité juive séfarade en France ou en Europe. C'était sans compter l'amabilité des goyim. D'ailleurs, on comprend mieux les paroles de nos Maîtres, que la goya accompagne 'son juif' au guéhinom. Car en fait, les goyim ont la capacité de respecter les valeurs juives, voir certaines  coutumes religieuses de leur conjoint. On se retrouve dans certaines situations à faire pâlir Monthy pyton. Soit, le bon juif algérien, généralement bourgeois, qui a réussi professionnellement, et qui dresse la table de Pessah' avec les matsote et le seder. Evidemment, sa compagne (et non sa femme, car le mariage mixte n'existe pas. C'est une relation mixte composée de fautes diverses liées aux interdits relationnelles de la Torah) est goye, ainsi que les enfants (qui ne sont pas les siens, car eux-mêmes goyim. Effectivement, si les enfants ne sont pas juifs, comment prétendre que ce sont ses enfants alors qu'il est lui-même juif ?!) et le pain trône à côté des matsote.

C'est là la force des goyim, qui nous ont décimés durant des siècles, mais qui, suite à l'holocauste, se sont pris soudain de remords. La liberté des mœurs et d'expressions des années 70, combinée au cataclysme des valeurs juives n'ont perpétué, dont la source provient des pays baltes et germaniques (on éradique d'abord les origines et l'appartenance, puis on termine avec l'annihilation physique, période qui s'étend jusqu'à nos jours, on en parlera plus tard) a permis aux goyim de réaliser ce que leurs ancêtres n'avaient pas réussi: décimer le peuple juif.

A tel point, que certains dirigeants de communauté, très francisé, il faut l'avouer, on optait pour le dialogue judéo-chrétin, lorsque la menace fanatique des croisades n'existait plus. A tel point, qu'on se trouve en présence d'un rabbin, habillé de Talit et Téfiline, courir vers un des papes e lui serrer la main au Kotel.

Il ne manquait plus que de se prosterner.   

Date de dernière mise à jour : 02/07/2021

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