La mauvaise femme – une perverse narcissique en puissance. Introduction
Alors que la plupart des rabbins bienpensants accordent leurs violons avec le mainstream mondial, soit, la protection totale de la femme dans la famille et société, conclusion infâme de la révolution immorale des années 60 et 70, une vengeance qui se mange très chaude, éradiquant d'un coup de balai les valeurs féminines de la Torah, il est de notre devoir de connaître le véritable avis de la Torah. Non, les avis de rabbins actuels ne sont pas toujours d'après la Torah. Pour se faire entendre, souvent ils se modernisent, noyant l'avis thoraïque au profit d'un agenda respectabilisé.
La femme doit sa part au Monde Futur à deux buts :
- Envoyer ses enfants au Talmoud Torah
- Envoyer son mari au Bet hamidrach étudier
Soit, tout ce qu'elle fait dans sa vie, a pour but de réaliser ces deux objectifs.
Son parcours personnel reste initiatique, comme tout individu, est n'a pas à s'annuler dans quelques conjonctures que ce soit.
Est définie une femme juive comme 'Bon', lorsque la Torah prédomine dans son foyer, car de 'Bon' il n'y a que la Torah.
Une femme qui repousse ou empêche la Torah et surtout celle de son mari, est une mauvaise femme, et c'est une mitsva de s'en séparer (le Mizbéah', ou autel des sacrifices, ne verse de larmes lors d'un divorce, que dans le cas où la femme est vertueuse et que le mari, dans son imbécilité profonde, veuille s'en séparer)
Il existe deux faces de la femme dans ce cas là :
- La femme qui se rebelle et refuse le lien le plus fort à son mari (à moins qu'il existe un véritable problème comme viol maritale ou autres, et dans ce cas là se tourner vers un Bet Din, et si celui-ci essaie de calmer la situation, il faut savoir que ce n'est pas la bonne solution, car ce mari est violent ou déstabilisé. Il est à noter, on n'emploie pas le terme 'mauvais mari', mais d'un homme laid et inutile, ce qui est pire)
- La femme qui est mauvaise, et atteint l'intégrité (voir physique) de son mari, parmi elle :
- La femme qui trompe son mari, ou fricote avec des amis masculins, même s'il n'y a pas d'actes, cela est considéré comme de la poussière d'adultère, et l'autre individu est un racha complet car il détruit la vie familiale
- Qui attise la haine entre eux, et principalement par le biais des parents (la fameuse belle-mère)
- Qui salit la réputation de son mari
- Qui fait souffrir son mari (par le quotidien, en le rabaissant par exemple, en étant simplement une teigne)
- Exige de son mari de travailler plus au détriment du temps d'étude de la Torah
- Quels sont les signes d'une mauvaise femme chez le mari ?
- Irritabilité et destruction du cercle social et extra-familial
- Plaintes successives à son entourage dans un désarroi total (l'inverse de ce qui est inscrit dans le Echéte h'ayil du Roi Chélomo, où le signe principal d'une femme vertueuse sont les louanges que le mari fait de sa femme)
- La volonté, voir de mourir, du mari, comme nos Maîtres le disent, une mauvaise femme est plus amère que la mort (à noter que certains idiots prennent le prétexte que celui qui supporte une mauvaise femme ne passe pas par la case guéhinom (enfer) vu qu'il a déjà donné dans sa vie. Or, c'est une dracha et non l'avis de nos Maîtres, qui prônent dans ce cas-là, le divorce)
- Le but ultime du mariage : l'affection et la sublimité de l'amour du conjoint afin de faire résider la Présence Divine dans le couple
Il existe une petite histoire qui s'est passée il y a une dizaine d'année :
Un jeune couple, marié, a divorcé au bout de trois mois. Bien que couple religieux, la raison l'était beaucoup moins : le mari ne pouvait supporter que sa nouvelle femme ne range pas sa brosse à dent et qu'elle soit sale. C'est aujourd'hui raconté dans la plupart des séminaires ou discours de rabbins sur le sujet de couple. Et c'est bien navrant. Car il avait bien raison de divorcer. Une femme qui ne recherche pas (sans extrême) la propreté et l'ordre minimale dans une maison, est synonyme de désastre humanitaire à l'arrivée des enfants. De plus, ce genre de femme lente et paresseuse, ne pourra jamais tenir un ménage emplit de joie, car on le sait, la lourdeur est synonyme de tristesse et déprime, voir dépression.
Il y a pire : ces femmes qui sont déprimées à la maison mais soudainement revivent à l'extérieur. Non seulement ce sont des femmes impotentes et surtout imbéciles car elles détruisent toute la famille, enfant inclus (que généralement elles aiment comme une tante ou une amie, l'amour maternel étant quasi-inexistant). Elles peuvent faire carrière, ou être très bien considérée par les gens extérieurs, mais c'est généralement là le signe de la mauvaise femme : elle réussie socialement ou/et professionnellement, mais familialement c'est un désastre.
Il est tellement plus facile de demander à l'homme de faire des efforts, de subir, alors que souvent, c'est à la femme de se réparer. Lorsque nos Maîtres parlent de la femme étant le miroir de l'homme, ils n'occultent pas le mauvais penchant de la femme et ses fautes. Au contraire. Une femme qui n'a pas vraiment fait Téchouva avant son mariage, ne pourra jamais tenir son couple.
Qu'est-ce que tenir son couple et son ménage ?
La Torah n'a jamais demandé à la femme d'être une femme de ménage. Mais c'est à elle que revient la réalisation des tâches ménagères. Qu'elle travaille et se paie une aide-ménagère ! Qu'elle paie un chef cuisinier si elle ne veut pas elle-même cuisiner ! (A vrai dire, une femme qui n'aime pas cuisiner ne sait pas transmettre son amour aux enfants. C'est une preuve scientifique de son égoïsme et son manque d'altruisme) L'important est qu'il y ait à manger et pour les enfants et pour le mari. La plupart des femmes ont aujourd'hui accepter l'aspect social de l'homme en tant que co-locataire, Co investisseur. Ce n'est pas une réunion pour ne faire qu'un, mais bien deux entités distinctes au nom de la liberté féminine, qui aujourd'hui, finit souvent dans les bras d'une autre femme, progressisme oblige, alors que cette faute est connue dans la Torah comme maassé mitsrayim (femmes ensemble). Non, les femmes ''libérées'' n'ont rien inventé, si ce n'est remettre au goût du jour les pires saletés de l'humanité.
- L'ignorance est l'origine de la bêtise :
Il est nécessaire de connaitre les lois, pas seulement de nidda (pureté) mais aussi les obligations halah'iques de la femme et de l'homme ainsi que les obligations en tant que parents. Et surtout surtout, éradiquer totalement les drachote et les façons de pensée diverses. Retourner aux sources tel que les enseignements du Tanah' et du Talmoud au sujet de la femme et de l'homme, comment se chérir, se respecter et arriver à la symbiose physique et spirituelle, tout en respectant le domaine personnel de chacun.
Si les gens connaissaient le Choulh'an Arouh', ils éviteraient de dire des bêtises. Le nombre d'obligations du mari au sein du couple est bien supérieur à celles de la femme. Et pourtant, les rumeurs tiennent bon. Les obligations de la femme permettent une liberté quasi improbable dans la société actuelle. C'est là la véritable liberté féminine !
Combien de divorce pour une seule raison : un des conjoints n'était pas prêt à changer, évoluer et principalement, à partager et à aimer.
La suite prochainement avec l'aide d'Hachem.