La Téchouva dans un couple.
Beaucoups pensent, à tort, que la Téchouva doit être personelle. Que l'on soit jugé, seul, devant le Tribunal d'En-Haut est vrai. Cependant, la clef de la Téchouva dans un couple, c'est la femme. Ce n'est pas par hasard, si les Imahote étaient appelées sous le nom de maison ou de tente. Car c'est à la maison que réside le plus gros travaille à effectuer. Avant tout, la colére du mari doit être complétement irradiquée. Et elle ne peut l'être que par la gentillesse de sa femme. Une femme gentille, mais non naïve, comprendra toute seule, quand et comment approcher ou calmer son mari. Le réveiller à temps pour faire Téchouva sur tel point. Une femme sotte demandera à chaque instant l'avis de son mari, ou un service quelconque. C'est là le principe de base : pouvoir donner assez de temps et de liberté à son mari, non pour aller voir ses copains, faire un tennis ou un restaurant entre eux, ni travailler plus pour ramener de l'argent superflu à lamaison. Ni pour s'occuper des enfants. Le mari n'est pas la nourrice de service. S'il doit étudier la Torah, quelque soit la forme de son étude, sa femme doit non seulement lui laisser la place, mais de plus l'encourager.
La femme qui fera perdre le Olam Haba à son mari a des points distinctifs :
La propreté du ménage et la Atslanoute, la paresse. Rien n'est pire qu'une femme paresseuse, pour une raison : ce qu'elle doit faire est réalisé par son mari. Pire !
Ces choses basiques sont des thémes de disputes dans le couple, que le mari travaille ou pas, qu'il étudie ou non.
La femme est le Kéli de bérah'a dans la maison. Cela ne marche que lorqu'elle adopte l'attitude de Ezer, d'aide de son mari. Dans le cas contraire, c'est une destruction totale. Car une femme qui manque de Méssiroute Néfech, de don de soi, de sacrifice pour son prochain, le premier étant son mari, n'est pas une femme. C'est encore la fille de son pére.